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Nous voici donc à la fin de notre enquête, nous souhaitons bonne chance à Milevski car les membres ne sembles pas prêt à lui faire de cadeaux, nous espèrons qu'il trouvera un compromis avec les membres ou qu'une sorte de "deuxième chance" lui soit accordé.

La fin approche t'elle pour ce jeune administrateur qui n'a pas eu le temps de faire ces preuves?
Luiz préféra t'il écouté ces membres?
Si il devait être viré par qui sera t'il remplacé?

Toute ces réponses vous les aurez lors du prochain journal avec une interview exclusive de Luiz!

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Coupe du monde 1982 : France - Allemagne
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«Aucun film au monde, aucune pièce ne saurait transmettre autant de courants contradictoires, autant d'émotions que la demi-finale perdue de Séville.»
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® Touche perso' by Michel57510 ®'

Plongeons nous dans le passé, il y a plus de 30 ans à présent. Demi-finale de la Coupe du Monde 1982, à Seville, en Espagne : le match qu'aucun français n'oubliera. Les français et leur technique, leur jeu offensif, les allemands au jeu physique et à la rigueur tactique. Cette rencontre marqua les esprits et fut alors vécue comme l'une des plus grosses injustices du football français et mondial.

Après une entrée en compétition difficile, la France est montée en puissance tout au long du tournoi. Qualifiés difficilement pour la deuxième phase de poule, les français se sortent ensuite assez facilement de leur poule à trois puis accédant finalement à leur première demi-finale mondiale depuis 1958.

Les allemands, quand à eux, se sont également améliorés petit à petit. Après avoir perdu contre l'Algérie, la Mannschaft se qualifie donc par "le match de la honte" contre l'Autriche, suffisant à qualifier ces deux derniers, au détriments de l'équipe d'Algérie. Deuxième tour plus complexe, un groupe difficile avec à la clé l'Espagne et l'Angleterre. Direction la demi-finale où les allemands partent largement favoris contre les bleus.

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Présentation du match

Compétition : Coupe du monde 1982
Match : France - RFA
Date : 8 Juillet 1982
Stade : Stade Ramón Sánchez Pizjuán
Lieu : Séville, Espagne
Affluence : 70 000 spectateurs
Arbitre principal : Charles Corver ()
Buteurs français : Michel Platini (26è) ; Marius Trésor (92è) ; Alain Giresse (98è)
Buteurs allemands : Pierre Littbarski (17è) ; Karl-Heinz Rummenigge (102è) ; Klaus Fischer (108è)


Entraineur : Michel Hidalgo - Remplacements : Patrick Battiston --> Bernard Genghini (50è) ; Christian Lopez --> Patrick Battiston (60è)
Entraineur : Jupp Derwall - Remplacements : Horst Hrubesch --> Felix Magath (73è) ; Karl-Heinz Rummenigge --> Hans-Peter Briegel (97è)

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® Première mi-temps équilibrée ®



Le coup d'envoi est donné et la domination est tout de suite allemande. Les français, fébriles physiquement et pas assez agressifs peinent à faire leur jeu souvent comparé à celui du Brésil, face à l'énorme pressing imposé par les allemands. Les bleus perdent rapidement le ballon et n’arrivent pas à sortir de leur propre camp. Après cinq premières minutes très difficile pour les français, Giresse tente un lob qui passe de peu à côté (6è). Les deux attaquants allemands, Littbarski et Magath, sont très difficles à gérer pour les défenseurs français. Littbarski tente alors sa chance, mais sa frappe passe à côté (11è). La puissance allemande et leur qualité de dribble fait défaut aux bleus qui ne sont pas assez agressifs. La domination allemande se fait ressentir et le goal français, Ettori, a une véritable pression sur ses épaules. Mais le jeu français n'est pas mort : les milieux de terrain se projettent vers l’avant sollicitant les une-deux et les passes rapide. Les français utilisent aussi les petits gabarits comme ceux de Giresse ou Tigana pour ne pas se frotter aux physiques monstrueux des allemands. Toute l'équipe de France est dans le camp allemand, y compris les défenseurs centraux. Mais Dremmler et ses compagnons allemands s' imposent dans les duels et règnent largement dans l’entrejeu. Quelques minutes plus tard, sur un coup franc aux vingt mètres, Littbarski envoie une frappe puissante sur la barre d'Ettori (17e). Fischer suit et frappe sur le côté droit du but et échoue grâce à la bonne sortie du gardien français ! Mais Littbarski a suivit et fini dans le but vide ! L’Allemagne prend alors l'avantage à la 17ème minute de jeu ! 0 - 1 !

La meilleure défense, c'est l'attaque ! Les français, peu destabilisés par l'ouverture du score, s'exposent de plus en plus vers l'avant multipliant les appels. A la 28ème minute, les bleus obtiennent un coup-franc. Giresse tire et cherche Platini dans la surface de l’extérieur du pied. Le n°10, surnommé le magicien, remise de la tête pour Rocheteau mais Forster le retient par la taille ! Le penalty est alors sifflé et il est indiscutable. Platini s’avance et prend Schumacher à contre-pied d'une frappe puissante à ras de terre ! 1 - 1 !

La rencontre s’est alors équilibrée et l'équipe de France a une meilleure maîtrise du ballon. En contre, Rocheteau fixe et sert Platini en retrait qui frappe la balle, d'une frappe puissante qui ne passe de peu à côté (41e). Du côté allemand, Briegel tente une volée de l’extérieur du gauche dans un angle très fermé et oblige Ettori à détourner en corner (43e). Schumacher, le portier allemand, se distinguera par ses provocations sur les joueurs français et sur le public. A la mi-temps, le score est logique et celà nous annonce une belle seconde période.

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® Deuxième mi-temps : l'attentat de Schumacher ®



La deuxième période ne débute pas sur un rythme élevé, les deux formations se neutralisant et s'observent. Les espaces dans les trente derniers mètres se font rares pour les attaquants bleus, d’autant que la défense allemande est bien en place et très solide. Mais parfois, une brèche se créée. Bossis récupère un ballon côté droit sur un super tacle et trouve Platini dans l’axe. Michel Platini voit son ami Patrick Battiston, entré quelques minutes plus tôt à la place de Genghini, faire un superbe appel dans le dos de Breitner. La récupération est parfaite, l’ouverture est parfaite, l'appel est parfait, le but sera parfait.. et bien non. Battiston est le premier sur le ballon qu’il dévie légèrement vers le but mais Schumacher a un énorme retard sur le joueur tricolore mais va au contact et essaye d'intimider le joueur français. Trop tard. 57ème minute, c'est le choc. Battiston est au sol, inanimé, le corps pris de violents spasmes, laissant une dent sur le terrain. Le ballon finira sa course à quelques centimètres du poteau. Aucune faute ne sera sifflée, la balle en six mètres, Schumacher s'en sort donc sans aucune sanction.


Malgré cet attentat, le gardien allemand déclarera par la suite, d'un air cynique : «Si vraiment ça lui fait plaisir, je lui paierai ses frais de dentiste.»

Coup terrible pour les français qui regardent ce match mais pas pour les joueurs bleus qui eux, révoltés par cette injustice, mettent plus d'intensité dans leur jeu et prennent le dessus au milieu du terrain. La rage au ventre, la hargne, l'envie de gagner ce match, les français deviennent alors les patrons au milieu du terrain. Jean Tigana est intenable, enchainant récupération et à la percussion et grâce à sa vitesse et son agilité, personne n'arrive à le garder en place. Malgré la domination française, Briegel tente une frappe croisée mais Ettori se couche bien (70e). Jupp Derwall, l'entraineur allemand, décide de faire entrer le solide Horst Hrubesch en pointe (73e). Briegel échappe au tacle de Lopez mais bute à nouveau sur un excellent Ettori (79e). Le suspense grandit à mesure que la fin du match approche et tout le monde sens l'énorme tension qu'habite les joueurs. Dans les dernières minutes du temps réglementaire, Amoros décroche une frappe surpuissante des 25 mètres qui vient trouver la barre (90e). Peu après, Ettori, dans un grand soir, réalise un double exploit sur une frappe de Breitner qu’il repousse, avant d’écarter le ballon des pieds d’un Fischer qui était à l’affût (90e+3) ! Place aux prolongations..

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® Prolongation : de la joie à la désillusion ®



Les 90 minutes offertes nous avaient déjà donné un réel plaisir, de la tension, de la révole, de l'ambition et de la rage, ces prolongations vont être dures à regarder. Usés et fatigués, tout les joueurs continuaient à aller de l’avant malgré les crampes et ce sont les français qui allaient prendre l’avantage cette fois-ci ! Un coup franc tiré par Giresse est détourné par le mini mur allemand. Le ballon revient dans l'axe, à 8 mètres du but de Schumacher et qui voilà ? Marius Trésor ! Ce dernier place une reprise de volée pure, puissante mais surtout parfaite, sous la barre de Schumacher qui ne peut absolument rien faire (93è) ! 2 - 1 !

Ettori s’interpose par la suite devant Littbarski suite à une mésentente avec Bossis (95è). Mais la dynamique est française ! Giresse joue rapidement un coup franc et lance Rocheteau, servi sur son côté droit, est relayé par Platini dans l’axe. Ce dernier décale Six sur le côté gauche pour finalement remettre le ballon en retrait pour Giresse qui frappe alors le ballon de l'extérieur du pied droit ! Le ballon rentre dans le but allemand grâce à un poteau rentrant (99è). Giresse devient un véritable gosse, qui ne sait plus où courir, ivre de bonheur. La finale est alors à portée de main ! 3 - 1 !

Les Allemands sont abbatus, assommés et fatigués. Sur coup franc, Platini inquiète Schumacher (102e). Giresse, dans le camp allemand, est fauché et reste au sol, blessé. L’équipe de France perd donc le ballon et tarde à se replacer. L’Allemagne en profite pour lancer le contre et à la conclusion d'un centre de Littbarski, Rummenigge surgit pour pousser le cuir dans le but (103è) ! Les allemands sont totalement relancés. 3 - 2 !

Le gardien français est mit à rude épreuve. Les français se font dominer et sur un des nombreux centres de Littbarski, la remise de Hrubesch au deuxième poteau est reprise grâce à un retourné par Fischer, qui égalise (108è) ! 3 - 3 !

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® Tirs au but : la tragédie de Séville ®



Le temps règlementaire et les prolongations n'auront pas suffit aux deux équipes pour se départager. C'est un horrible dénouement qui s'offre à nous. La séance de tirs au but, toujours incertaine et cruelle. Ca passe ou ça casse. Une chance sur deux de se qualifier, il faut alors prier pour que la chance soit de son côté. Les Bleus tirent les premiers et Giresse, Amoros et Rocheteau transforment magnifiquement leurs tirs. Kaltz et Breitner leurs répondent (2-3). Stielike s'avance, le solide défenseur du Real Madrid voit son tir stoppé par Ettori ! Le joueur allemand s’effondre sur la pelouse, inconsolable. Littbarski tente de le consoler, celà est peine perdue. Pendant ce temps, Six s’avance devant Schumacher et manque lui aussi.. Littbarski ne se fait pas prier et remet les deux équipes à égalité (3-3). Platini et Rummenigge transforment tranquillement leur tir au but, comme à leur habitude. À 4-4, une énorme pression repose sur les joueurs. Bossis s’avance à son tour. Le latéral français a été impérial tout au long de cette rencontre totalement folle. Il choisit de frappe à gauche mais Schumacher anticipe et s’interpose.. Il ne reste plus qu'à Hrubesch de mettre la balle au fond des filets et c'est fini. L'allemand ne tremble pas et envoie l’Allemagne en finale (5-4). La joie allemande, la désillusion est française. Les bleus sont abbatus, remplis de tristesse, inconsolables. Les joueurs de l'Equipe de France quittent le terrain, le regard vide, sous le choc de ce match complètement fou.

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® Le résumé en vidéo ®


Match en entier : https://www.youtube.com/watch?v=Pj-HM57dyjY

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Et bien oui, ce ne sont pas toujours les "gentils" qui triomphent et cette demi-finale est là pour nous en rappeler. Passer de la joie, à la tristesse, au stress, à l'injustice, à la révole, à la colère.. Pour les français, c'est le drame de Séville. Pour les passionés de football, cette ville restera à jamais gravée dans leurs mémoires ayant comme souvenir, cette horrible défaite, cette tragédie.

Le lendemain du le journal "L'Équipe" écrit à sa une «Fabuleux !». Paris Match qualifia également ce match de «troisième guerre franco-allemande» et un élant de rancoeur saisit alors la France et les français : Schumarer étant alors fréquemment comparé à un SS. Malgré tout, Patrick Battiston se montrera d'une grande bonté vis-à-vis de son agresseur, Harald Schumacher.

«Séville est à part. Moi, je le range définitivement dans le musée imaginaire du football. Dans cinquante ans, les enfants s'en donneront encore à cœur joie. Ils se bousculeront devant les images, afin d'observer ce qu'une défaite peut avoir de grandiose lorsque le champ de bataille est à la hauteur […]. D'une certaine façon, Séville n'est même plus un rendez-vous manqué. C'est un combat figé dans l'histoire du sport.» Pierre-Louis Basse

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Quels joueurs ont marqué cette Europa League ?



Quels joueurs de cette compétition ont su faire la différence ?
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Composition by Michel57510'

Et bien, normalement, j'aurais dû ne citer qu'un seul grand joueur dans cet article. LE joueur qui aura marqué l'Europa League, de part son jeu et son fair-play. Mais comme vous avez pu le constater, cette compétition nous a donné bien des surprises et je n'ai donc pas pu départager. En passant par les plus jeunes jusqu'aux plus anciens, énormement de joueurs nous ont agréablement surpris. Alors, avec l'équipe des journalistes, nous avons décidé de donner le meilleur joueur à chaque poste ! Je vous laisse donc découvrir le top des joueurs qui ont marqué cette Europa League !
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La dream team



Passant par les plus anciens aux plus jeunes, des jeunes pépites ont alors été découvertes et les anciens ont alors pu prouver qu'ils n'étaient toujours pas mort. Tous un potentiel énorme et un talent certain ! L'Europa League nous aura vraiment émerveillé durant toute cette compétition. Bref voici les joueurs récompensés pour leurs magnifiques parcours !
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Du côté des gardiens


Les gardiens.. le dernier rempart de son équipe. Il a une pression folle sur ses épaules, la dernière balle est pour lui et s'il se trou c'est le but assuré. Dans cette compétion, un gardien s'est plus démarqué des autres, sauvant son équipe à de nombreuses reprises malgré l'énorme pression. Son fair-play et son jeu auront donc payé durant cette compétition. Ce gardien se prénomme donc :

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-Mannone- ! Félicitation à lui !
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Du côté des défenseurs


Les défenseurs. Un poste très dure à gérer et à appliquer correctement. Agressif sur l'attaquant, bon dans le placement, excellent dans les relances et parfait dans ses doses, ce n'est pas un métier de tout repos. Cette récompense a été très dure à donner dû aux excellentes prestations des défenseurs de l'Europa League mais malgré tout, un joueur a réussi à se démarquer des autres et ce n'est tout simplement que :

Spoiler:  

Malik500604 ! Félicitation à lui !
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Du côté des milieux


Les milieux de terrain, d'une précision millimétrée dans leurs passes, ces derniers sortent souvent avec la récompense du "meilleur passeur" à la fin d'une compétition. Excellent dans leurs feintes et dans leurs placements, ils restent un véritable atout pour leurs équipes. Dans cette coupe, un joueur a réussi à se démarquer grâce à ses excellentes prestations durant les grands matchs. Ce joueur se nomme alors :

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Shaarawy.92 ! Félicitation à lui !
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Du côté des attaquants


Les attaquants, précis dans le dernier geste, décisif, grands feinteurs et souvent très doués techniquement ; les attaquants sont de véritables bourreaux pour les défenses adversaires. Durant cette Europa League, trois attaquants nous ont impressionnés.. Ces trois attaquants ne sont que : IziResfa, Baneiro et Golsh. Un seul a réussi à se démarquer des autres grâce aux autres qualités observées. Cet attaquant n'est d'autre que :

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Baneiro ! Félicitation à lui !
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Et la révélation ?


Comme à chaque compétition, une révélation est découverte. Un jeune qui a impressionné durant toute cette compétition. Et l'Europa League en a encore découverte une pour vous ! Excellent dans son placement, il est l'un des véritables pilliers de son équipe. Je pense que vous avez deviné qui est cette pépite :

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,Iturbe ! Félicitation à lui !
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Conclusion finale



Et bien voilà les récompenses données aux meilleurs joueurs de l'Europa League celon l'équipe des journalistes. En espérant avoir fait les bons choix et qu'il n'y ait pas de rage sur cet article. Peace, ce n'est qu'une récompense comme une autre. Merci à tous d'avoir lu, celà n'aura pas été facile de départager tout le monde mais finalement, on a essayé d'être les plus francs possibles et je pense que ce "classement" est honnête. Ces joueurs là méritent leurs récompenses tout comme d'autres personnes qui n'ont pas été choisi. A bientôt pour le prochain Habbo Equipe !

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HISTOIRE DRÔLE

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Est-il utile de vous rappeler les règles?
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1) Je suis le rédacteur de cette article.
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El.Biche [Tosca']

2) Je suis le premier fondateur d'Habbosoccer.

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Diaron

3) Je suis le lecteur de cette article.

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Michel57510

4) Je suis l'ancien chef-journaliste.

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Nakerde

5) Je suis le premier Habbosoccer Ballon D'or.

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-Beckham [-Mansare-]
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